Voici les meilleures chansons de Limp Bizkit

Êtes-vous prêt à vous replonger dans les souvenirs de Limp Bizkit ? Ce groupe a bouleversé le monde avec son mélange fougueux de rock, de rap et de métal à la fin des années 90 et au début des années 2000. Préparez-vous à redécouvrir les meilleurs chansons de Limp Bizkit qui nous ont fait sauter et crier !

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Limp Bizkit n’est pas un groupe ordinaire ; il a fait des vagues avec son style distinct et sa présence audacieuse sur scène. Ils ont uni leurs forces à celles de grands noms de tous les genres musicaux et ont joué un rôle clé dans le mouvement nu-metal. Leurs célèbres collaborations ont ajouté un punch supplémentaire à la musique que nous ne pouvons pas nous empêcher d’écouter !

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Notre top 10 des meilleures chansons de Limp Bizkit

10 – Ready To Go


La toute première fois que nous avons écouté « Ready To Go » dans les bureaux de, nous avons décidé de la réécouter, puis de la réécouter, puis de la réécouter, jusqu’à ce que nous l’ayons littéralement écoutée 35 fois (sans exagération aucune).

Il y avait quelque chose d’immédiatement adorable là-dedans. Peut-être ce rythme répétitif qui crée une dépendance, ou le fait qu’il soit si confortablement effronté, ou l’intervention de Lil Wayne… Il ne ressemble à aucun autre morceau de Bizkit à ce jour.

9 – Rollin’ – l’une des meilleures chansons de Limp Bizkit


Move in! Move out! Hands up! Hands down! Back up! Ces paroles instructives font de ce deuxième single emblématique du troisième album de 2000, Chocolate Starfish And The Hot Dog Flavored Wate, autant un régime d’exercice qu’une chanson.

Cela semble être un effort considérable pour continuer à rouler, mais on peut supposer que Fred est le mieux placé pour le savoir. Après tout, c’est toujours le single le plus populaire de leur histoire au Billboard…

8 – Counterfeit


On poursuit notre remontée du classement des meilleures chansons de Limp Bizkit avec Counterfeit. La chanson des Bizkit qui a attiré l’attention du Royaume-Uni pour la première fois avant la sortie de Three Dollar Bill, Y’all$, « Counterfeit » est une introduction en forme de bloc de brise.

Avec un riff principal en une-deux, un chant classique de Freddy D (rap puis construction puis hurlement du dernier bit), et une démarche qui devrait être transportée dans une brouette, c’est comme si les premiers Limp Bizkit explosaient sur vous, vous donnant un bon aperçu de toutes leurs facettes.

7 – Boiler


Un fondu enchaîné sinistre avant de plonger dans un riff martelant, « Boiler » est le Limp Bizkit le plus expérimental qui soit. Pas de gros refrains débiles flanqués de scratchs de disques, au lieu de cela, nous trouvons Fred dans son état le plus contemplatif, se demandant sans cesse « Pourquoi ? » comme Socrate avec une casquette rouge.

La ligne de basse méditative et la montée progressive vers le refrain final sont une pure catharsis, qui a mis les fans de Bizkit du monde entier en extase. Mais de quoi parle cette vidéo ? Un Wes sans tête, une usine de sexe bizarre et un dessin animé de Fred Durst nu… C’est sûr qu’on n’en fait plus des comme ça.

6 – My Way


Parmi l’avalanche de tubes de haute bravoure qu’était Chocolate Starfish, il était presque facile d’ignorer l’éclat de My Way. Lorsque la chanson a été choisie comme thème principal de WrestleMania X-7 (sans doute la meilleure de tous les temps), entendre le chant défiant de Freddy D « My way or the high way » pendant que The Rock et Stone Cold Steve Austin s’envoyaient en l’air a rendu irrésistiblement clair son attrait pour la haute-testostérone.

5 – Faith – l’un des meilleurs titres de Limp Bizkit


Ce n’est pas un secret que Fred Durst aime jouer des reprises plus que des chansons de Limp Bizkit (fait amusant : quand ils font leur soundcheck, c’est presque exclusivement des reprises), mais sa version du classique de George Michael est bien meilleure qu’elle n’a le droit de l’être.

La voix n’est peut-être pas aussi douce que celle de George, mais elle est beaucoup plus passionnée que l’originale, et extrêmement Bizkit dans son aspect Bizkit. C’est exactement ce que doit être une bonne reprise ! L’une des chansons de Limp Bizkit les plus connues.

4 – Take A Look Around


La plupart des groupes, lorsqu’on leur demande de créer un thème de film, se contentent souvent du strict minimum (n’oublions pas Die Another Day de Madonna). Mais pour Limp Bizkit, utiliser le thème emblématique de Mission Impossible et le faire coller parfaitement à la chanson – tout en lui donnant un énorme coup de pied au cul – n’est pas une tâche facile.

Même si Fred Durst a la réputation d’être gaffeur lorsqu’il s’agit de ses paroles, elles s’intègrent parfaitement ici, créant une performance énergique, dure et ardente. Cette chanson est non seulement un excellent thème d’action, mais aussi une bande-son enragée pour n’importe quoi en général.

Et le podium est…

3 – Nookie


Le premier single du deuxième album de Limp Bizkit, Significant Other, qui a conquis le monde entier, est un euphémisme pour parler de sexe. Curieusement, le groupe a réussi à faire d’un mot désuet et pudibond la première chanson du groupe à figurer au Billboard 100.

Wes a apparemment trouvé ce titre pour plaisanter après l’avoir vu sur la couverture d’un magazine pornographique. Il ne pensait pas que le groupe l’utiliserait… Bienvenue sur le podium des meilleures chansons de Limp Bizkit

2 – My Generation – l’une des meilleures chansons de Limp Bizkit


Bien que l’on ne puisse s’empêcher d’imaginer que Fred avait imaginé cette chanson comme un hymne relativement direct à sa « Génération-X, Génération Strange… », la cod-profondeur déconcertante de lignes telles que « Hey kid, take my advice : you don’t wanna’ step into a big pile of shit… » l’a quelque peu empêché d’être prise au sérieux.

Pourtant, bourré de riffs qui semblaient avoir été écrits sur un trampoline, avec des clins d’œil au batteur John Otto et à DJ Lethal, et livré avec toute la bonne humeur osseuse d’un sketch de Jackass, ce morceau n’a jamais manqué de déclencher un véritable chaos sur scène.

1 – Break Stuff

On place « Break Stuff » en tête de notre top 10 des meilleures chansons de Limp Bizkit. Il n’y a certainement jamais eu de chanson aussi explicite que l’hymne des Hellraisers de Limp Bizkit.

Tout est foutu, tout le monde est nul ! On ne sait pas vraiment pourquoi, mais on veut justifier le fait d’arracher la tête de quelqu’un !

Bien que le comportement odieux que le morceau a contribué à accélérer à Woodstock 1999 reste dans les mémoires, il s’agit d’une ode à la monstruosité bien plus banale : cette infuriation quotidienne que nous avons tous endurée.

Débordant d’un vitriol à couper le souffle, mais – et c’est crucial – avec un sentiment de calme après la tempête de son propre ridicule, Break Stuff a réussi à transcender la bulle Bizkit pour devenir un cri de guerre pour tous ceux qui sont à court d’énergie, où qu’ils soient. L’une des chansons de Limp Bizkit les plus connues.

Voici les 10 meilleures chansons de Gojira

Place à notre liste des meilleures chansons de Gojira. Gojira est l’un des groupes de métal les plus importants du 21e siècle, le groupe français ayant produit une série d’albums acclamés au cours des 20 dernières années. Récemment, Gojira a attiré l’attention du monde entier avec une performance électrisante lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques à Paris.

Formé par les frères Joe Duplantier (chant, guitare) et Mario Duplantier (batterie), ainsi que le guitariste Christian Andreu, à l’adolescence en 1996, et avec le bassiste de longue date Jean-Michel Labadie (qui s’est joint au groupe en 1998), Gojira a sorti sept albums au cours de sa carrière.

from Mars to Sirius
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Les chansons de Gojira sont non seulement extrêmement lourdes sur le plan musical, mais elles sont également très lourdes sur le plan des paroles, souvent centrées sur des questions environnementales, ainsi que sur des thèmes spirituels et philosophiques.

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10 – « Stranded » – Magma

Sorti en tant que premier single de l’album Magma en 2016, « Stranded » a choqué les fans et a été accueilli avec hésitation lors de sa sortie. Maintenant que la poussière est retombée, la chanson peut recevoir son évaluation méritée en tant que moment impressionnant et transitoire dans la discographie de Gojira.

Marqué par des harmonies dissonantes, ce single n’est pas le tech-death expansif des trois derniers albums, mais un amalgame de prog-groove metal tranchant qui fait appel à la fois à l’habileté musicale et à un sens aigu de la brièveté de la composition.

Le fait qu’il s’agisse du premier titre publié par Gojira après leur déménagement en Amérique, où ils l’ont enregistré dans leur nouveau studio, le rend d’autant plus symbolique

9 – « Toxic Garbage Island » – The Way of All Flesh – l’une des meilleures chansons de Gojira

« Toxic Garbage Island » est l’un des meilleurs exemples d’écriture de Gojira sur la nature ; plus précisément, elle est inspirée par le “vortex de pollution dans le Pacifique, deux fois plus grand que la France” (comme l’a expliqué un jour Mario Duplantier). Des paroles telles que « Cities are burning / The trees are dying / My heart awake, but still » filtrent le message écologiste à travers les poésies pointues caractéristiques de Gojira.

Cependant, c’est l’instrumentation à la fois féroce, décousue et cathartique qui permet à « Toxic Garbage Island » d’être une manière captivante, brutale et mélodique de lancer le quatrième album studio du groupe, The Way of All Flesh.

8 – « New Found » – Fortitude

On poursuit notre remontée du classement des meilleures chansons de Gojira avec « New Found ». « New Found » exploite la dualité de la guitare de Joe et de la batterie de Mario. Alors que ce dernier pose des rythmes et des syncopes difficiles, Joe opte pour des mélodies et des riffs a ccrocheurs – avec de temps en temps une note tordue pour donner de la saveur – et contrebalance les arrangements complexes de son frère par une accessibilité tangible.

Cela culmine lorsque la chanson se lance dans son refrain harmonieux, où toutes les arêtes tranchantes disparaissent. En guise de pont, le groupe reprend habilement le refrain sous la forme d’un passage semi-ambiant avant d’attaquer les riffs une fois de plus.

Alors que les chansons de Gojira sont de plus en plus courtes et compactes sur leurs derniers albums, « New Found » est une exception notable.

7 – « Liquid Fire » – L’Enfant Sauvage


Gojira n’a pas eu la tâche facile en essayant de suivre The Way of All Flesh, et bien que certains fans considèrent L’Enfant Sauvage comme un effort moindre, il s’agit tout de même d’un superbe voyage. L’une des raisons principales est « Liquid Fire », un morceau tonitruant, nuancé et émouvant qui démontre l’importance accordée par l’album aux portées épiques et aux textures ambiantes.

Les paroles et les mélodies de Joe Duplantier sont fascinantes, déchirantes et détaillées. L’effet robotique sur sa voix (pendant le refrain) rehausse également son agressivité obsédante.

6 – Universe – From Mars to Sirius – l’un des meilleurs titres de Gojira

A l’image de son titre, « The Heaviest Matter of the Universe » est l’un des morceaux les plus techniques et les plus extrêmes de Gojira – une séance de quatre minutes de mathématiques de la signature temporelle, de coups de poing harmoniques et d’une habileté à couper le souffle. Le batteur Mario Duplantier est une merveille sur la plupart des morceaux de Gojira, mais celui-ci pourrait bien être son plus grand accomplissement.

Ce qu’il joue ici est à la limite du surhumain, et c’est aussi le squelette de l’arrangement de la chanson – un morceau sans compromis de death metal technique et un point culminant du meilleur travail de Gojira sur l’ensemble de son œuvre, From Mars to Sirius.

5- « The Art of Dying « – The Way of All Flesh

En 5ème place de notre top 10 des meilleures chansons de Gojira, on retrouve « The Art of Dying ». « The Art of Dying » fait référence au bouddhisme et préfigure intelligemment le succès de “Esoteric Surgery” vers la fin de l’album. C’est facilement l’un des morceaux les plus ambitieux de Gojira à ce stade, avec son ouverture tribale progressivement intensifiée (et très intrigante) évoluant vers un assaut saisissant de riffs et de rythmes maniaques, accompagné d’un chant implacable qui coupe la gorge.

Comme beaucoup de leurs chansons, cependant, ce sont les moments plus modestes et pleins de ressources – tels que les divers ralentissements qui précèdent les nouveaux débordements – qui en font une partie essentielle de leur catalogue.

4 – « Ocean Planet » – From Mars to Sirius


« Ocean Planet » est la pièce maîtresse conceptuelle de From Mars to Sirius
, soulignant le spiritualisme et les thèmes écologistes présents tout au long de l’album. La dernière phrase de la chanson est peut-être la plus puissante de toute la discographie du groupe : « La planète océan est en feu ».

C’est une phrase poignardante – un drap blanc qui se drape sur les rêves de transcendance personnelle décrits avant elle (pour « nager jusqu’aux baleines dans le ciel »). Joe Duplantier s’assure que ses mots sont lisibles, délivrant son chant avec une franchise acérée tandis que le groupe fournit une toile de fond technique de death metal à la fois dure et majestueuse.

Et le podium est…

3 – « Silvera » – Magma

Le deuxième single de , « Silvera » a été nommé pour la meilleure performance metal aux Grammy Awards 2017 (où il a perdu face à « Dystopia » de Megadeth). Bien qu’il s’inscrive dans leur terrain artistique, son tempo sludgy, ses atmosphères post-métal et son utilisation réduite de l’hyperactivité tech-death signifient qu’il est plus accueillant et mélodique que la plupart des travaux antérieurs de Gojira.

Bien sûr, la technique de tapping caractéristique de Joe Duplantier pendant son solo de guitare élève le morceau encore plus haut, et dans l’ensemble, « Silvera » est un excellent point d’entrée pour les nouveaux venus de Gojira qui ne sacrifie rien de crucial à leur recette gagnante. Bienvenue sur le podium des meilleures chansons de Gojira.

2 – « L’enfant Sauvage » – L’enfant Sauvage – L’une des meilleures chansons de Gojira.

Les rythmes grinçants et les répétitions de « L’enfant Sauvage » créent une atmosphère statique de mélancolie, qui trouve un écho dans les hurlements passionnés de Joe Duplantier.

Il y a une tension supplémentaire dans sa voix qui est franchement soulful – un descripteur qui semblerait habituellement obtus dans le contexte du metal extrême mais qui est constamment approprié en ce qui concerne Gojira.

L’auditeur peut être bercé dans un état de réflexion, avant d’être secoué encore plus intensément par la rupture en coup de fouet qui éclate vers la fin de la chanson.

1 – « Flying Whales » – From Mars to Sirius

LA meilleure chanson de Gojira est pour nous « Flying Whales ». Il est normal que la plus grande chanson de Gojira soit tirée de leur plus grand album. Alimentée par les sons et la majesté des baleines, sa position anti-violence est suggérée par son introduction instrumentale sombre et douce.

Comme pour de nombreux autres morceaux, le courant subtilement dévastateur devient de plus en plus évident à chaque écoute, se terminant par de multiples couches d’agitation et d’angoisse avant ce qui est probablement le meilleur morceau de Gojira. En bref, « Flying Whales » est la pure perfection de Gojira.

James Hetfield de Metallica : la voix et le rythme du groupe de métal

Nom complet : James Alan Hetfield
le 3 août 1963
Lieu de naissance : Downey, Californie, États-Unis
Profession : Chanteur principal, guitariste rythmique, auteur-compositeur
Célèbre pour : Cofondateur, chanteur et guitariste rythmique de Metallica, l’un des groupes de heavy metal les plus influents de l’histoire.

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Petite enfance de James Hetfield et débuts difficiles (1963-1980)


James Hetfield est né à Downey, en Californie, dans une famille très attachée à la science chrétienne. Sa mère, Cynthia, est chanteuse d’opéra et son père, Virgil, est chauffeur de camion. Les croyances religieuses de la famille ont eu un effet profond sur l’éducation de Hetfield.

Ils adhéraient aux pratiques de la Science Chrétienne, qui évitaient la médecine conventionnelle, ce qui influencera plus tard une grande partie de l’écriture de Hetfield, en particulier les thèmes de la rébellion, de la frustration et de la perte.

Les premières années de Hetfield sont marquées par les difficultés. À l’âge de 13 ans, ses parents divorcent et, peu de temps après, sa mère meurt d’un cancer.

Leur refus de se faire soigner en raison de leurs croyances religieuses a profondément affecté Hetfield. Ce sentiment d’abandon et de colère alimentera une grande partie de la puissance émotionnelle brute de la musique de Metallica.

La musique devient un exutoire pour le jeune Hetfield. Influencé par des groupes de rock et de métal comme Aerosmith, Black Sabbath et Led Zeppelin, il commence à jouer de la guitare à l’âge de 9 ans.

Il joue dans plusieurs groupes locaux pendant son adolescence, mais ce n’est que lorsqu’il passe une annonce dans The Recycler, un journal musical local, que son chemin vers la grandeur commence vraiment. En 1981, il rencontre le batteur Lars Ulrich, une rencontre qui va changer la trajectoire de sa vie et celle de la musique heavy metal.

Naissance de Metallica et premiers succès (1981-1986)

James Hetfield et Dave Mustaine


Hetfield et Ulrich se lient rapidement, tous deux déterminés à créer un groupe qui se démarquerait du glam et du pop metal dominant la scène de Los Angeles à l’époque. Avec le guitariste Dave Mustaine et le bassiste Ron McGovney, le duo forme Metallica en 1981. Le groupe enregistre sa première démo, No Life ‘Til Leather, en 1982, ce qui lui permet d’attirer l’attention de la scène underground.

Après quelques changements de groupe, notamment le remplacement de Mustaine par Kirk Hammett et de McGovney par Cliff Burton, Metallica enregistre son premier album, Kill ‘Em All (1983).

Le son agressif et l’énergie thrash metal de l’album ont eu un impact immédiat, la voix brute et puissante de Hetfield et sa guitare rythmique jouant un rôle crucial dans la définition du style de Metallica.

Metallica a suivi ce succès avec Ride the Lightning (1984) et Master of Puppets (1986), deux albums qui ont consolidé leur statut de pionniers du thrash metal. Les paroles de James Hetfield ont mûri pendant cette période, abordant souvent des thèmes sombres et introspectifs, tandis que son travail à la guitare est devenu plus complexe.

Son jeu de guitare rythmique sur des titres comme « Creeping Death » et « Battery » met en valeur sa rapidité et sa précision, et sa technique emblématique de down-picking devient une marque de fabrique du son de Metallica.

La tragédie frappe le groupe en 1986 lorsque Cliff Burton est tué dans un accident de bus lors d’une tournée en Suède. James Hetfield, qui était devenu très proche de Burton, est dévasté par cette perte, et l’incident l’affecte profondément sur le plan personnel et musical.

Malgré cela, Metallica poursuit sa route, remplace Burton par Jason Newsted et continue son ascension vers la gloire.

Percée dans le grand public et succès mondial (1987-1991)


En 1988, Metallica sort …And Justice for All, un album connu pour sa complexité et ses structures progressives. L’écriture de Hetfield prend un ton plus politique, abordant des sujets tels que la corruption gouvernementale et la guerre.

Le single le plus célèbre de l’album, « One », a valu à Metallica sa première nomination aux Grammy Awards et a permis à James Hetfield de réaliser l’une de ses performances vocales les plus puissantes, soulignée par les thèmes sombres et anti-guerre de la chanson.

La percée de Metallica auprès du grand public a eu lieu en 1991 avec la sortie de leur album éponyme, souvent appelé The Black Album. Avec le producteur Bob Rock à la barre, le groupe adopte une approche plus polie et plus accessible de son son.

Des titres comme « Enter Sandman », « The Unforgiven » et « Nothing Else Matters » ont apporté à Metallica un succès mondial, et le style vocal de Hetfield, à la fois plus grinçant et plus mélodique, est devenu une signature de cette époque.

L’album s’est vendu à plus de 30 millions d’exemplaires dans le monde, et Hetfield est devenu l’une des voix les plus reconnaissables de la musique rock. Malgré le succès commercial, les paroles de Hetfield continuent à aborder des thèmes personnels et souvent sombres, traitant de conflits intérieurs, de colère et de douleur émotionnelle.

Évolution créative de James Hetfield et luttes personnelles (1992-2003)


Après le succès massif du Black Album, Metallica adopte une approche plus expérimentale avec ses deux albums suivants, Load (1996) et Reload (1997). Dans ces albums, le groupe incorpore des éléments de hard rock, de blues et de rock alternatif.

L’écriture de Hetfield évolue, se concentrant davantage sur des sujets introspectifs tels que les relations, la dépression et l’identité personnelle. Des chansons comme « Until It Sleeps » et « The Memory Remains » reflètent la lutte de James Hetfield contre la célébrité et la pression que représente le fait d’être à la tête de l’un des plus grands groupes de rock au monde.

Pendant cette période, la vie personnelle de Hetfield a commencé à s’effilocher. En coulisses, il est aux prises avec des problèmes d’alcoolisme et de gestion de la colère. En 2001, pendant les sessions d’enregistrement de St. Anger, Hetfield entre en cure de désintoxication pour faire face à sa dépendance et à ses démons personnels.

Cette période turbulente a été documentée dans Some Kind of Monster (2004), un film révélateur qui montre les luttes internes au sein de Metallica et le combat de Hetfield pour reprendre le contrôle de sa vie.

Réhabilitation, rétablissement et résurgence (2004-2011)


Après avoir terminé sa cure de désintoxication et pris du temps pour se consacrer à sa famille, James Hetfield est revenu chez Metallica avec une attention renouvelée. Sa sobriété a joué un rôle crucial dans la résurgence de Metallica.

Le groupe a sorti St. Anger en 2003, un album brut et peu élaboré qui reflétait l’état du groupe pendant la convalescence d’Hetfield. Bien que l’album ait divisé les fans et les critiques, il a marqué un tournant pour Hetfield, tant sur le plan personnel que musical.

Death Magnetic Metallica

En 2008, Metallica a sorti Death Magnetic, un retour à ses racines thrash metal. L’album est salué pour son agressivité et sa complexité, les performances vocales et guitaristiques de Hetfield mettant en valeur son esprit rajeuni.

Des titres comme « The Day That Never Comes » et « All Nightmare Long » prouvent que Metallica possède toujours l’énergie et l’intensité qui ont fait d’eux des légendes dans le monde du métal.

À cette époque, la sobriété de Hetfield est devenue un élément central de son identité, et il parle ouvertement de ses problèmes d’addiction et de l’influence qu’ils ont sur sa musique. Son parcours, qui l’a vu passer du statut de leader perturbé et autodestructeur à celui d’artiste équilibré et concentré, a trouvé un écho auprès de nombreux fans.

Succès et héritage continus (2012-aujourd’hui)


En 2016, Metallica sort Hardwired… to Self-Destruct, un autre succès critique et commercial. L’album présente certains des meilleurs travaux de Hetfield depuis des années, tant sur le plan vocal qu’instrumental. Sa voix puissante, combinée à ses riffs caractéristiques, est le moteur de titres comme « Hardwired » et « Moth into Flame ».

La capacité de Hetfield à intégrer ses expériences de vie dans sa musique a permis à Metallica de rester pertinent et influent dans un paysage musical en constante évolution.

La popularité durable de Metallica a été renforcée par son programme de tournées incessant, Hetfield s’imposant sur les scènes du monde entier. Sa présence sur scène, caractérisée par sa silhouette imposante, sa voix grondante et son intensité, est restée plus forte que jamais, captivant le public par son énergie brute.

En 2019, Hetfield est retourné en cure de désintoxication pour faire face à ses problèmes d’addiction, rappelant ainsi que la guérison est un processus continu. Malgré ce revers, Hetfield a continué à travailler sur de la nouvelle musique avec Metallica, et le groupe reste actif à la fois en enregistrement et en tournée.

Vie privée

Famille de James Hetfield


James Hetfield est marié à Francesca Hetfield depuis 1997, et le couple a trois enfants. Francesca, une figure clé dans la vie de Hetfield, l’a soutenu tout au long de ses combats contre la toxicomanie et ses démons personnels. Hetfield a souvent dit que sa famille l’avait aidé à trouver la stabilité et l’équilibre dans sa vie.

Outre sa carrière musicale, Hetfield est passionné de chasse, de voitures et de motos. Il est connu pour ses guitares personnalisées, qui sont souvent ornées d’œuvres d’art reflétant ses centres d’intérêt et son histoire personnelle.

Ses hobbies s’étendent également à la philanthropie, la fondation All Within My Hands de Metallica se concentrant sur l’aide aux communautés dans le besoin, en particulier dans les domaines de l’éducation et de l’aide aux sinistrés.

Héritage de James Hetfield et influence


James Hetfield est largement considéré comme l’un des plus grands frontmen et guitaristes rythmiques de tous les temps. Sa technique de down-picking et ses riffs agressifs et précis ont contribué à définir le genre thrash metal, tandis que sa voix distincte a donné à Metallica sa signature sonore.

Les paroles de Hetfield, qui abordent souvent les thèmes de l’aliénation, de la lutte intérieure et de la perte personnelle, ont trouvé un écho auprès de millions de fans à travers le monde.

L’influence de Hetfield ne se limite pas à Metallica. Il a inspiré des générations de guitaristes et de chanteurs, et sa musique a contribué à façonner le paysage du heavy metal.

Tout au long de sa carrière, il est resté l’un des moteurs du succès de Metallica, et son parcours personnel, qui l’a mené de l’addiction et de la douleur à la sobriété et à la conscience de soi, a fait de lui un symbole de résilience.

Quelques faits


Guitare signature : ESP « Truckster » et Gibson Explorer
Principales influences : Aerosmith, Black Sabbath, Motörhead, Thin Lizzy
Chansons célèbres : Enter Sandman, Master of Puppets, One, The Unforgiven
Récompenses : Plusieurs Grammy Awards avec Metallica, intronisé au Rock and Roll Hall of Fame (2009)


L’histoire de James Hetfield est celle d’une transformation : d’un jeune homme troublé confronté à une tragédie personnelle, il est devenu l’une des voix et l’un des guitaristes les plus emblématiques de l’histoire du rock.

Sa capacité à transformer sa douleur en une musique puissante a cimenté son héritage en tant que véritable légende du heavy metal.

Lars Ulrich de Metallica : La force motrice du groupe

Nom complet : Lars Ulrich
: le 26 décembre 1963
Lieu de naissance : Gentofte, Danemark
Profession : batteur, auteur-compositeur, producteur de disques
Célèbre pour : Cofondateur et batteur de Metallica, l’un des groupes de heavy metal les plus influents de tous les temps

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Premières années de Lars Ulrich et initiation à la musique (1963-1980)

Lars Ulrich adolescent


Lars Ulrich est né à Gentofte, au Danemark, dans une famille aisée et artistique. Son père, Torben Ulrich, était un joueur de tennis professionnel et un musicien de jazz réputé, tandis que son grand-père était également un joueur de tennis de renom.

Au départ, il semblait que Lars suivrait leurs traces et, à l’âge de 9 ans, il jouait déjà au tennis en compétition, avec l’ambition de devenir professionnel. Cependant, sa passion pour la musique a rapidement éclipsé son intérêt pour le tennis.

Le parcours musical de Lars a commencé lorsqu’il a été initié au rock et au heavy metal à l’adolescence. En 1973, à l’âge de 9 ans, il assiste à un concert de Deep Purple à Copenhague, ce qui déclenche sa passion pour la musique et la batterie rock.

Peu après, il devient obsédé par la scène naissante de la New Wave of British Heavy Metal (NWOBHM), en particulier par des groupes comme Iron Maiden, Diamond Head et Motörhead.

En 1980, à l’âge de 17 ans, Lars a pris une décision qui a changé sa vie. Sa famille déménage à Los Angeles, en Californie, pour permettre à Lars de poursuivre sa carrière de joueur de tennis, mais il se tourne alors vers la musique. Armé d’une batterie, de ses disques de NWOBHM et d’un désir ardent de monter un groupe, Lars commence à poser les bases de ce qui deviendra bientôt Metallica.

La formation de Metallica (1981-1983)


Après avoir déménagé à Los Angeles, Ulrich passe une annonce dans The Recycler, un journal local, en 1981, à la recherche de musiciens intéressés par la formation d’un groupe. Cette annonce attire l’attention de James Hetfield, guitariste rythmique et chanteur. Ensemble, ils ont formé le noyau de Metallica, un groupe qui allait dominer le monde du heavy metal.

Metallica 1983

Les débuts de Metallica sont marqués par la détermination et une éthique de travail implacable. Lars et James recrutent le guitariste Dave Mustaine et le bassiste Ron McGovney pour compléter la formation initiale du groupe. En 1982, le groupe enregistre sa première démo, No Life ‘Til Leather, qui attire rapidement l’attention de la scène metal underground.

En 1983, Metallica décide de remplacer Dave Mustaine par le guitariste Kirk Hammett et recrute le bassiste Cliff Burton, solidifiant ainsi ce qui deviendra leur formation classique. La même année, ils enregistrent leur premier album, Kill ‘Em All, un disque de thrash metal brut et rapide qui fait de Metallica un groupe à suivre.

Le style de batterie agressif et novateur de Lars Ulrich, caractérisé par une double grosse caisse rapide et des rythmes précis, est la clé du son du groupe.

L’ascension de Metallica (1984-1991)


Après Kill ‘Em All, Metallica sort Ride the Lightning (1984) et Master of Puppets (1986), deux albums qui mettent en valeur le jeu de batterie de plus en plus complexe de Lars Ulrich et l’évolution du son du groupe. Master of Puppets était particulièrement novateur, mêlant thrash metal et éléments progressifs, et est souvent considéré comme l’un des plus grands albums de metal jamais réalisés.

En 1986, le bassiste Cliff Burton se tue dans un accident de bus alors que le groupe est en tournée en Suède. Malgré cette perte dévastatrice, Ulrich et le reste de Metallica poursuivent leur chemin, recrutant le bassiste Jason Newsted et continuant leur ascension dans le monde du métal.

Leur album suivant, …And Justice for All (1988), voit Lars jouer un rôle prépondérant dans la direction du groupe. L’album présente des compositions complexes et longues, dont le titre emblématique « One », qui vaut à Metallica sa première nomination aux Grammy Awards.

En 1991, Metallica sort son album éponyme, souvent appelé « The Black Album ». Cet album marque un tournant vers un son plus accessible et plus grand public, tout en conservant ses racines métalliques. Des titres comme « Enter Sandman » et « Sad but True » sont devenus de grands succès.

Le jeu de batterie de Lars, bien que plus simple que dans les albums précédents, est parfaitement adapté à la production plus soignée et plus adaptée aux radios, et son sens des affaires aide Metallica à atteindre un succès commercial inégalé. L’album s’est vendu à plus de 30 millions d’exemplaires dans le monde, consolidant la position de Metallica en tant qu’icône mondiale du rock.

Conflit et réinvention de Lars Ulrich (1992-2008)


Les années 1990 ont été marquées par des hauts et des bas pour Lars Ulrich et Metallica. Après la sortie du Black Album, le groupe est devenu l’un des plus grands groupes de rock au monde, avec des tournées massives et des stades pleins à craquer. Cependant, des divergences créatives sont apparues au sein du groupe.

Les albums Load (1996) et Reload (1997) ont permis à Metallica d’expérimenter un son plus alternatif et inspiré du blues, ce qui a aliéné certains fans de longue date mais a montré que le groupe était prêt à prendre des risques.

Lars, toujours aussi stratège, a défendu ces choix artistiques, positionnant Metallica comme un groupe qui n’a pas peur d’évoluer.

proces avec Napster

En 2000, Lars est devenu une figure centrale de la lutte contre la plateforme de partage de musique en ligne Napster. Metallica a porté plainte contre Napster pour violation des droits d’auteur, accusant la plateforme de permettre la distribution non autorisée de leur musique.

Cette bataille juridique a fait de Lars l’une des figures les plus polarisées de l’industrie musicale, de nombreux fans considérant cette action comme une attaque contre la liberté de partage de la musique. Malgré les réactions négatives, le procès a marqué un tournant dans le débat sur les droits de la musique numérique.

Lars Ulrich - Some Kind of Monster

Les tensions au sein du groupe ont atteint leur paroxysme au début des années 2000 lors de l’enregistrement de St. Anger (2003). Le documentaire Some Kind of Monster (2004) relate les luttes internes du groupe, Lars s’opposant souvent à Hetfield. Malgré cette période chaotique, la détermination et la persévérance de Lars ont permis à Metallica d’aller de l’avant, et St. Anger, bien que controversé, a introduit un son brut et non poli qui reflétait l’état turbulent du groupe.

En 2008, Metallica est revenu à ses racines thrash metal avec Death Magnetic, un album qui a réaffirmé sa domination sur le monde du metal. Le jeu de batterie de Lars sur cet album marque un retour au style plus technique et plus agressif qui a défini le début de sa carrière, et l’album a été largement salué comme un retour à la forme.

Années récentes et continuité de l’héritage (2009-aujourd’hui)


En 2009, Metallica a été intronisé au Rock and Roll Hall of Fame, ce qui témoigne de son influence et de son impact sur l’histoire de la musique. Les contributions de Lars, non seulement en tant que batteur mais aussi en tant que cofondateur et leader stratégique, ont été essentielles au succès du groupe.

En 2016, Metallica a sorti Hardwired… to Self-Destruct, qui a encore renforcé son héritage en tant que l’un des plus grands groupes de heavy metal de tous les temps. Le jeu de batterie de Lars, toujours aussi puissant et précis, continue d’être un élément déterminant du son de Metallica.

Les tournées mondiales du groupe, y compris les concerts en tête d’affiche de certains des plus grands festivals du monde, ont démontré que le groupe était toujours au sommet de son art.

En dehors de Metallica, Lars s’est essayé à divers projets parallèles, notamment la production de films et le métier d’acteur, apparaissant dans plusieurs documentaires et même dans un petit rôle dans le film Get Him to the Greek (2010). Sa passion pour l’art contemporain l’a également amené à devenir collectionneur et à participer activement au monde de l’art.

Vie privée de Lars Ulrich

Lars Ulrich enfants


Lars Ulrich a été marié trois fois et a trois fils. Il est actuellement marié au mannequin Jessica Miller. Connu pour sa personnalité affable et franche, Lars a toujours assumé son rôle de membre le plus controversé et le plus public de Metallica.

Un aspect important de la personnalité de Lars est son sens des affaires. Tout au long de la carrière de Metallica, il a joué un rôle clé dans la gestion des affaires financières et juridiques du groupe, veillant à ce qu’il conserve le contrôle de sa musique et de son image de marque.

Ses actions lors du procès Napster, bien que controversées, ont mis en lumière sa compréhension du paysage changeant de l’industrie musicale et de l’importance de protéger les droits des artistes.

Héritage et influence


L’héritage de Lars Ulrich en tant que batteur est multiple. Bien que certains critiques aient souligné la simplicité de son jeu de batterie dans les dernières années, sa contribution au son de Metallica, en particulier dans les premiers albums, est indéniable. Son utilisation pionnière de la double grosse caisse sur des morceaux comme « Dyers Eve » et « One » a influencé d’innombrables batteurs du genre métal.

Plus qu’un simple batteur, Lars est considéré comme l’un des principaux architectes de l’ascension de Metallica vers la célébrité mondiale. Sa ténacité, son sens des affaires et sa vision créative ont contribué à transformer Metallica d’un groupe underground de thrash metal en l’un des groupes de rock les plus prospères et les plus durables de l’histoire.

La capacité de Lars à repousser les limites, tant sur le plan musical que professionnel, a fait de lui une figure emblématique non seulement du heavy metal, mais aussi du monde de la musique en général.

Quelques faits


Kit de batterie signature : Batterie Tama, cymbales Zildjian, peaux de tambour Remo
Principales influences : Deep Purple, Black Sabbath, Diamond Head, Motörhead
Moments marquants de la batterie : One, Dyers Eve, Master of Puppets
Récompenses : Plusieurs Grammy Awards avec Metallica, intronisé au Rock and Roll Hall of Fame (2009)


L’histoire de Lars Ulrich est celle de la persévérance et de l’ambition. Son parcours, d’un prodige du tennis au Danemark à une icône du métal aux États-Unis, reflète son engagement envers son métier et sa volonté inébranlable de propulser Metallica vers des sommets toujours plus élevés.

Kirk Hammett – Metallica : L’emblématique guitariste principal des Four Horsemen

Nom complet : Kirk Lee Hammett
Né le : 18 novembre 1962
Lieu de naissance : San Francisco, Californie, États-Unis
Profession : Guitariste principal, auteur-compositeur
Célèbre pour : Metallica, l’un des groupes de heavy metal les plus influents de tous les temps

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Petite enfance de Kirk Hammett et débuts musicaux (1962-1983)

Kirk Hammett adolescent


Kirk Hammett est né à San Francisco dans une famille métisse, son père étant d’origine anglaise, allemande, irlandaise et écossaise et sa mère d’origine philippine. Il grandit à El Sobrante, en Californie, et ses premières années sont marquées par une passion pour la musique, influencée par une grande variété de sons issus du rock, du blues et des débuts du metal.

À 15 ans, il achète sa première guitare, une Montgomery Ward spéciale catalogue, et développe rapidement un appétit insatiable pour apprendre à jouer.

L’intérêt de Hammett pour la musique lourde s’est développé en écoutant des groupes comme Led Zeppelin, Black Sabbath et UFO. Cette passion l’a amené à former son premier groupe, Exodus, en 1979, qui a fait partie de la scène thrash metal naissante dans la région de la baie de San Francisco.

Alors qu’Exodus gagne du terrain au niveau local, le monde de Hammett va bientôt changer lorsqu’il reçoit un appel téléphonique de Lars Ulrich, le batteur de Metallica, en 1983.

Rejoindre Metallica et l’ascension vers la gloire (1983-1991)

Metallica - photo groupe 1983


En avril 1983, Metallica est en pleine transition. Après s’être séparé de son guitariste principal Dave Mustaine, le groupe invite Hammett à passer une audition. Bien que jeune et nouveau dans le groupe, Hammett impressionne immédiatement par ses capacités techniques et son style fluide. Il rejoint officiellement Metallica juste avant que le groupe ne commence à enregistrer son premier album, Kill ‘Em All.

À partir de là, le rôle de Hammett dans Metallica a été crucial pour façonner le son du groupe. Ses solos mélodiques, son expertise technique et son utilisation de la pédale wah-wah sont devenus des éléments caractéristiques de la musique du groupe.

Après Kill ‘Em All viennent Ride the Lightning (1984) et Master of Puppets (1986), tous deux considérés comme des albums fondateurs dans l’histoire du heavy metal. La contribution de Hammett est particulièrement notable dans des morceaux comme « Fade to Black » et « Creeping Death ».

En 1986, Metallica a vécu une tragédie lorsque le bassiste Cliff Burton a été tué dans un accident de bus pendant la partie européenne de leur tournée. Malgré cela, le groupe va de l’avant, et la résilience de Hammett l’aide à rester uni et à faire évoluer son son.

Metallica a atteint de nouveaux sommets avec son album de 1988 …And Justice for All et, en 1991, son album éponyme, souvent appelé « The Black Album ». Cet album, avec des succès comme « Enter Sandman » et « The Unforgiven », a propulsé Metallica vers le succès général, et le travail de Hammett à la guitare a joué un rôle important dans cette popularité.

L’évolution du style de Kirk Hammett et ses expérimentations (1991-2008)


Tout au long des années 1990, Hammett a continué à développer son style de jeu, en incorporant des influences blues et en expérimentant différents sons et techniques. Il est connu pour son intérêt pour les films d’horreur et l’imagerie horrifique, ce qui influence son approche de l’écriture et sa présence sur scène.

Au milieu des années 90, Metallica a pris un tournant créatif controversé avec les albums Load (1996) et Reload (1997), expérimentant un son plus bluesy et hard rock, qui a mis en valeur la polyvalence de Hammett en tant que guitariste.

Durant cette période, Hammett a également commencé à élargir ses horizons en tant que compositeur, contribuant à des riffs et des solos qui s’aventurent au-delà du thrash metal. Des titres comme « The Memory Remains » et « Fuel » révèlent un guitariste plus raffiné et plus polyvalent.

Son engagement à explorer de nouveaux styles a contribué à l’évolution du son de Metallica, ce qui a aidé le groupe à conserver son énorme base de fans tout en attirant de nouveaux auditeurs.

Les difficultés des années 2000 et le retour aux sources (2008-aujourd’hui)

Some Kind of Monster - Kirk hammett


Le début des années 2000 a été une période difficile pour Metallica, marquée par des tensions internes et des luttes créatives. Cette période est relatée dans le documentaire Some Kind of Monster (2004), qui jette un regard cru sur les conflits internes du groupe lors de l’élaboration de l’album St Anger (2003).

Kirk Hammett a notamment été une force stabilisatrice au sein du groupe pendant cette période turbulente, prenant souvent le pas sur le drame mais jouant un rôle vital en gardant le groupe concentré sur sa musique.

En 2008, Metallica est revenu à ses racines thrash metal avec l’album Death Magnetic, un succès critique et commercial qui a vu les solos agressifs et rapides de Hammett occuper à nouveau le devant de la scène. Cet album a marqué une résurgence créative pour Metallica, et le jeu de Hammett a été salué pour son retour à la férocité technique de leurs premiers travaux.

Depuis, Kirk Hammett continue de tourner et d’enregistrer avec Metallica. Le groupe a sorti Hardwired… to Self-Destruct en 2016, qui met une fois de plus en valeur le jeu de guitare complexe et émotif de Hammett.

Kirk Hammett est également partisan de rester à la page, expliquant souvent comment il continue à s’entraîner et à explorer de nouvelles techniques de guitare, même après des décennies de jeu.

Vie privée et autres activités

famille du guitariste


En dehors de Metallica, Kirk Hammett a gardé une vie personnelle relativement privée. Il a épousé sa seconde femme, Lani, en 1998, et le couple a deux enfants. Hammett est également un collectionneur passionné de souvenirs de films d’horreur, une passion qui a influencé sa musique et son esthétique.

Il a organisé des expositions pour présenter sa collection, notamment des guitares ornées d’œuvres d’art sur le thème de l’horreur.

En 2012, Kirk Hammett a publié un livre intitulé Too Much Horror Business, qui décrit sa fascination pour les films d’horreur et les souvenirs. Ce hobby et son implication dans les actions caritatives de Metallica, comme la fondation All Within My Hands, illustrent la personnalité à multiples facettes de Hammett, qui combine son amour pour la musique avec ses passions personnelles et la philanthropie.

Héritage et influence de Kirk Hammett


L’influence de Kirk Hammett en tant que guitariste s’étend bien au-delà de Metallica. Il a inspiré d’innombrables guitaristes par ses prouesses techniques, son utilisation emblématique de la pédale wah-wah et sa capacité à mêler mélodie et agressivité.

Hammett a été régulièrement classé parmi les plus grands guitaristes de tous les temps par des organismes tels que Rolling Stone et Guitar World.

Tout au long de sa carrière, Hammett a conservé la réputation d’un musicien humble et dévoué. Alors que de nombreux guitaristes de sa trempe se sont lancés dans des projets solo ou ont diversifié leur carrière, Hammett est resté fidèle à Metallica, contribuant à leur succès depuis des décennies.

Son jeu continue d’évoluer et son héritage comme l’un des plus grands de l’histoire du rock et du metal reste assuré.

Quelques faits


Guitare fétiche : ESP KH-2 (son modèle personnalisé)
Influences : Jimi Hendrix, Michael Schenker, Eddie Van Halen
Solos notables : Fade to Black, One, Enter Sandman, The Unforgiven
Récompenses : Plusieurs Grammy Awards avec Metallica, intronisé au Rock and Roll Hall of Fame en 2009


L’histoire de Kirk Hammett est celle d’une évolution constante : un artiste qui n’a jamais cessé d’apprendre, d’expérimenter et de repousser les limites du possible dans la musique métal.

Son dévouement à son métier et son rôle dans l’un des plus grands groupes du monde font de lui une véritable légende de la guitare rock.

Voici les meilleures chansons de System Of A Down

Place à notre liste des meilleures chansons de System of a Down. Oui, ils n’ont produit que cinq albums studio en l’espace de sept ans et quelques, entre juin 1998 et novembre 2005, mais le niveau de qualité, d’excentricité et d’innovation du quatuor de Los Angeles System Of A Down est tel qu’il est vraiment difficile de réduire leur catalogue à seulement 20 chansons.

Du premier album éponyme de 1998, qui a fait l’effet d’un tremblement de terre, au chef-d’œuvre Toxicity de 2001, qui a marqué son époque, en passant par Steal This Album ! de 2002, qui a été détourné par des pirates, et par Mezmerize et Hypnotize, les deux autres albums du groupe, sortis en 2005, ont connu une évolution constante et avant-gardiste, mais aussi une singularité sonore que même leurs pairs les plus estimés n’ont jamais pu espérer égaler.

Toxicity
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Notre top 10 des meilleures chansons de System of a Down

10 – I-E-A-I-A-I-O

Avec un titre qui reprend les voyelles de « idéalisation “, ” illégalisation “, ” libéralisation “ et ” internalisation », le huitième morceau de Steal This Album ! aurait pu être un réquisitoire relativement simple contre les structures systémiques qui nous maintiennent dans l’oppression, mais il s’agit en fait des trois minutes les plus hallucinantes de SOAD.

Peter’s pecker picked another / Pickle bearing pussy pepper, Why / Meeting John at Dale’s Jr / Winked an eye and point a finger … A former cop, undercover / Just got shot, now recovered, Why / Fighting crime, with a partner / Lois Lane, Jimmy Carter !

Les fans et les critiques y ont trouvé des allusions à la figure de proue occulte Aleister Crowley, au Ku Klux Klan et à Kitt de Knight Rider, mais la chanson est mieux appréciée comme le chef-d’œuvre abstrait le plus explosif de System.

9 – Holy Mountains – l’une des meilleures chansons de System of a Down

La deuxième véritable réflexion de System sur le génocide arménien (après P.L.U.C.K. en 1998) marque leur maturité à la fois en tant qu’auteurs-compositeurs et en tant qu’esprits politiques.

Les montagnes sacrées du titre font référence aux hauts plateaux arméniens, qui bordent l’Arménie et la Turquie. Le mont Ararat, du côté turc, est considéré comme la « montagne sacrée » et constitue pour de nombreux Arméniens un rappel brutal du génocide.

La tonalité sombre de l’album évoque un peuple qui aspire encore à la justice. Lorsque System a pris la route pour la tournée Wake Up The Souls de 2015, qui marquait le centenaire du massacre, c’est cette chanson qui a ouvert tous les soirs.

8 – Sugar

Le tout premier single de System Of A Down reste l’une de leurs œuvres les plus jubilatoires.

I’m not there all the time you know,’ Serj sings. ‘Some people, some people, some people / Call it insane, yeah they call it insane (sugar) / I play Russian roulette everyday, a man’s sport / With a bullet called life, yeah, mama, called life (sugar).’

Mariée à un riff monté sur ressorts et interprétée par des marginaux au visage maquillé, la chanson a inévitablement été cataloguée dans le sous-genre rampant du nu-metal, mais de l’interprétation unique en son genre au message de gauche (« L’aspartame tue ! ») en passant par la vidéo musicale sauvagement politisée de Nathan Cox, il était évident pour quiconque avait la tête sur les épaules que ces gars-là étaient quelque chose d’autre.

7 – ATWA- l’un des meilleurs titres de System of a Down

Si ATWA avait figuré sur un autre album que Toxicity, il aurait certainement été un hit single. Distillant tout ce qu’il y a de bien chez SOAD en deux minutes et 56 secondes de son turbulent, nous avons droit à l’une de leurs plus belles intros ( « Hey you, see me, pictures crazy / All the world I’ve seen before me passing by… “) qui débouche sur un refrain massue (” You don’t care about how I feel / I don’t feel it anymore ! ») avant que la composition n’atteigne son crescendo grandiose.

Il y a même un peu de mystique là-dedans, le titre étant un acronyme pour le mouvement environnemental Air, Trees, Water, Animals dirigé par le leader de la secte et meurtrier condamné Charles Manson.

6 – Lost in Hollywood

On poursuit notre remontée de notre top 10 des meilleures chansons de System of a Down avec Los In Hollywood. Empruntant le titre d’une chanson de l’album Down To Earth (1979) de Rainbow, Lost In Hollywood est une lettre d’amour et de haine à la ville natale du groupe. Écrite (et interprétée en grande partie) par le guitariste Daron Malakian, elle imagine une conversation avec un nouvel arrivant à La La Land, le mettant en garde contre les « gens bidons » et les « magots usés qui fument des clopes sur Sunset Boulevard ».

Ses guitares doucement piquées et les chants de Serj en font l’un des morceaux les plus obsédants du groupe. D’un point de vue stylistique, il a également indiqué la direction que Daron allait prendre avec son excellent projet suivant, Scars On Broadway.

La preuve que même ceux qui ont réussi ont des histoires poignantes à raconter sur la Cité des Anges.

5 – Toxicity – l’une des meilleures chansons de System of a Down

À bien des égards, la musique de System Of A Down a souvent été ressentie comme l’équivalent auditif du TDAH. Le morceau-titre de Toxicity en est l’exemple ultime : une réaction impulsive, sur-énergisée et dispersée à « la toxicité de notre ville, de notre ville ».

La ligne de guitare circonspecte de Daron est détonée par la section rythmique maniaque de John et Shavo, le chant virtuose de Serj nous emmène à travers des accalmies douces et des passages carrément maniaques.

Les riffs du dernier mouvement sont parmi les plus intransigeants de tout leur catalogue, et la déclaration finale « When I became the sun / I shone life into the man’s heart » ressemble à un baiser audacieux de la part d’artistes d’avant-garde qui s’apprêtent à se retrouver sous les feux de la rampe.

4- B.Y.O.B.

Après le succès mondial de Toxicity, le premier single de Mezmerize a prouvé que System pouvait aller plus loin que ce que ses fans les plus ardents avaient imaginé. L’hymne ouvertement politisé B.Y.O.B. (Bring Your Own Bombs) confirme que le groupe n’hésitera pas à poser de grandes questions (« Why don’t presidents fight the war ? / Why do they always send the poor ? ») alors même qu’il est en passe de devenir une superstar.

Plus important encore, il a puisé dans des mélanges d’influences plus disparates – pop, punk, R&B et métal extrême – et les a combinés pour créer ce qui est sans doute leur morceau le plus commercialisable (et le plus réussi).

Pas mal pour un banger dont le couplet d’ouverture est aussi étrange que « Barbarisms by Barbaras / With pointed heels / Victorious victorious kneel / For brand new spankin’ deals ! ». Le GRAMMY 2005 de la meilleure performance hard rock a suivi.

Et le podium est…

3 – Aerials

Le troisième et dernier single de Toxicity (qui clôt l’album) est un chef-d’œuvre extraordinaire et discret, rempli de complexité philosophique et d’insidiosité rampante, qui est devenu le premier numéro un du Mainstream Rock aux États-Unis.

Les observations existentielles du chanteur Serj se déploient sur une composition relativement minimaliste et largement ambiante, qui a souvent été comparée à « The Unforgiven » de Metallica pour ses vagues d’émotion. « La vie est une chute d’eau, chante-t-il. Nous sommes un dans la rivière et de nouveau un après la chute« .

Bienvenue sur le podium des meilleures chansons de System of a Down.

2 – Spiders – l’une des meilleures chansons de System of a Down

Le deuxième single de System Of A Down était la preuve que, dès le début, le groupe était capable de faire plus que le schizo-métal chaotique qui avait attiré tant de fans à sa cause.

Une version plus douce mais bien plus perfide de leur vision, les mélodies obsédantes et les motifs rampants de Spiders ont fait passer les auditeurs de l’agitprop incompréhensiblement chargé de ressorts de Sugar à un paysage sonore plus cérébral et troublant.

Les paroles poétiques et séduisantes de Serj (« The piercing radiant moon / The storming of poor June / All the life running through her hair / Approaching guiding light / Our shallow years in fright / Dreams are made winding through my head… ») ont fait leur chemin dans votre peau avant que leur sujet (troubles intérieurs, contrôle de l’esprit) ne devienne apparent.

La sélection du morceau pour la bande originale de Scream 3 était un signe précoce de leur capacité à infiltrer le grand public avec les sons les plus sombres et les plus difficiles.

1 – Chop Suey!

En tête de notre classement des meilleures chansons de System of a Down, on retrouve « Chop Suey! ». Le génie absolu ressemble souvent à du charabia. À la première écoute, les paroles de la chanson emblématique de System pourraient sembler complètement farfelues. Si ce n’était, bien sûr, de l’élan qui la fait ressembler à une version post-millénaire plus lourde de Bohemian Rhapsody de Queen ou de n’importe quel autre morceau des Beatles.

Intitulée à l’origine « Self-Righteous Suicide », la chanson a tout de même réussi à faire passer ses références à l’autodestruction en tant que single à succès, alors que le monde sombrait dans la tourmente immédiatement après le 11 septembre 2001.

Daron a depuis expliqué que la chanson était un examen trépidant de l’évolution de l’opinion sur les personnalités publiques lorsqu’elles décèdent (la mort « méritée » d’un toxicomane comparée aux actes « héroïques » d’un martyr), mais cela a bien moins d’importance que l’attrait qu’elle a suscité auprès du grand public et du public.

Approchant rapidement le milliard de vues sur YouTube, cette chanson reste l’hymne du métal crossover du 21e siècle, toujours aussi influent aujourd’hui qu’à l’époque.

Les meilleurs albums de Deftones

Découvrez notre classement des meilleurs albums de Deftones. Les Deftones de Sacramento (Californie) ont eu l’une des carrières les plus variées et expérimentales de tous les groupes de musique moderne. Depuis leurs débuts au sein du mouvement nu-metal naissant jusqu’au post-metal ambiant d’aujourd’hui. C’est un véritable parcours du combattant. Nous vous présentons ici leur catalogue dans l’ordre.

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Les meilleurs groupes de metal

Les meilleures chansons de Deftones

Notre liste des meilleures albums de Deftones

9 – Koi No Yokan (2012)

Après le succès critique de Diamond Eyes en 2010, cet album est moins instantané et contient moins de moments d’excitation pour les fans de musique heavy. Entombed est aussi beau que tout ce que le groupe a jamais fait, et tout album qui commence par le monstrueux Swerve City ne peut pas être si mauvais.

8 – Saturday Night Wrist (2006)

Il semble que le monde soit enfin en train de rattraper Saturday Night Wrist. Réalisé par un groupe frustré et en proie aux querelles, et mal aimé par une grande partie de ses fans, le principal point de discussion pour beaucoup est qu’il s’agit du dernier album du bassiste originel Chi Cheng avant son accident de voiture fatal.

Mais en l’écoutant aujourd’hui, il y a beaucoup d’excellents moments sur Saturday Night Wrist, la plupart étant épiques, douloureusement mélodiques et brillamment inquiétants. Écoutez Beware ou Xerces et réévaluez la situation.

7 – Gore

On remonte notre classement des meilleurs albums de Deftones avec Gore. De nombreuses expériences réalisées sur Saturday Night Wrist ont été reprises dix ans plus tard sur l’album Gore, qui a suscité la controverse.

Il ne fait aucun doute que le groupe est plus habile et capable d’atteindre ces éléments ici, bien que la réaction de certaines personnes suggère que Gore pourrait être un autre slow burner.

6 – Ohms (2020)

Il y a eu des murmures de mécontentement de la part des fans qui trouvaient que Gore sacrifiait trop de choses en termes de lourdeur. Leur dernier album corrige le tir en faisant un tour complet du passé. Ohms pique comme un papillon et flotte comme une abeille, passant de la béatitude à l’agitation, souvent dans l’espace d’une même chanson.

Il n’indique pas de nouvelles directions au groupe et ne s’appuie pas sur de nouvelles influences, mais Deftones a prouvé il y a longtemps qu’ils étaient des leaders dans un domaine unique.

5 – Deftones (2003)

La tâche de suivre l’énorme succès de White Pony étant impossible, il est évident que l’opus éponyme de Deftones est régulièrement négligé. Mais ne croyez pas une seconde qu’il s’agisse d’un échec artistique.

La lourdeur est de retour, peut-être plus que jamais, sur le premier album Hexagram et le totalement brutal When Girls Telephone Boys, mais le nouvel amour pour l’exploration de nouveaux espaces musicaux et de nouvelles textures est omniprésent sur Minerva. Un classique perdu.

4 – Diamond Eyes (2010) – l’un des meilleurs albums de Deftones

Considéré par beaucoup comme l’album qui a remis le groupe sur une trajectoire ascendante après le traumatisme de Saturday Night Wrist. Diamond Eyes sonne étrangement comme un retour aux sources lorsqu’on le compare à la plupart de leur dernière période, mais comment peut-on contester la qualité de chansons comme Rocket Skates ou Cmnd/Ctrl ? C’est un album qui rappelle l’excitation des deux premiers albums du groupe, réalisé par un groupe plus âgé et plus sage.

Et le podium est…

3 – Adrenaline (1995)

L’un des grands débuts des années 90. Le nu-metal n’existait pas jusqu’à ce que Korn et Deftones arrivent sur la scène et changent tout. Bien que les deux groupes soient responsables de l’évolution de l’esthétique du metal, Korn ne s’occupait que de nihilisme, de douleur et de brutalité.

Tandis que Deftones, sur Adrenaline, mettait en avant des influences allant du gangster rap au skate punk. Des chansons comme Bored et 7 Words sont devenues des hymnes à l’aliénation de la jeunesse pour un tout nouveau groupe de jeunes, qui s’ennuyaient du grunge et voulaient leur propre son. Ils l’ont rapidement obtenu. Bienvenue sur le podium des meilleurs albums de Deftones.

2 – Around the Fur (1997) – l’un des meilleurs albums de Deftones.

L’album qui a fait de Deftones le groupe le plus en vue de la planète (en tout cas au Royaume-Uni), Around The Fur est plus réfléchi et plus profond qu’Adrenaline. Mais il reste aussi lourd que n’importe quel groupe de métal, comme on peut l’entendre sur le breakneck lotion ou en entendant Chino Moreno échanger des lignes de chant avec Max Cavalera sur Headup.

Mais surtout, Around The Fur contient au moins deux des chansons les plus hymniques de l’époque, « Be Quiet And Drive (Far Away) » et l’impressionnante « My Own Summer (Shove It) », qui sont encore aujourd’hui des incontournables de leur set live.

1 – White Pony (2000)

Comment ne pas placer White Pony en tête de notre liste des plus grands albums de Deftones ? L’une des déclarations les plus difficiles et les plus définitives de la musique moderne. White Pony a fait de Deftones l’un des meilleurs groupes d’une scène rapidement sursaturée et un genre à part entière.

Le nouveau membre Frank Delgado a apporté une toute nouvelle série de touches sonores subtiles au groupe, Moreno captive tout au long de l’album avec une performance vocale envoûtante, le batteur Abe Cunningham maintient un tatouage rythmique irrésistible de la première à la dernière seconde et même le guitariste Stephen Carpenter, le seul membre ouvertement incertain de la tentative du groupe de s’affranchir des chaînes du métal, réussit à insérer suffisamment de riffs époustouflants dans l’album.

La chose la plus proche que le metal ait jamais eu d’un album comme Ok Computer de Radiohead, et la raison la plus convaincante pour laquelle Deftones existe dans une bulle qu’ils ont eux-mêmes créée.

Les meilleures chansons de Linkin Park

Place maintenant à notre liste des meilleures chansons de Linkin Park. Linkin Park a fait son entrée dans la conscience publique en 2000 avec la sortie de leur premier album, Hybrid Theory. Avec Limp Bizkit, les rockers californiens sont souvent considérés comme des précurseurs du nu-metal, bien qu’ils aient déclaré ne jamais s’être identifiés à ce genre. Pourtant, avec le rap metal, il n’y a pas de meilleure façon de décrire leurs premiers travaux.

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One More Light Live
  • Shrink-wrapped
Minutes To Midnight
  • Minutes to Midnight by LINKIN PARK (2007-05-15)
  • Linkin Park (Auteur)

Plus tard, le groupe s’est éloigné du nu-metal pour explorer des genres comme le rock alternatif, le hip-hop et l’électronique, mais tout au long de leur catalogue, on retrouve le mélange unique du rap dur et profond de Mike Shinoda et du chant (et des cris) grinçant et mélodique de Chester Bennington. Ces deux-là, ainsi que Brad Delson (guitare), Dave Farrell (basse), John Hahn (samples/tablettes) et Rob Bourdon (batterie) ont constitué de manière assez constante la formation du groupe, recevant ensemble un certain nombre d’accolades extraordinairement impressionnantes.

Hybrid Theory est l’un des albums les plus vendus de tous les temps, et le groupe a été le premier artiste rock à dépasser le milliard de vues sur Youtube.

Le groupe a sorti six albums studio, de nombreux albums live, deux albums de remix, et a même remporté un Grammy pour sa collaboration avec Jay-Z. En n’ayant jamais peur d’explorer de nouveaux sons et de suivre l’air du temps, Linkin Park a réussi à rester pertinent alors que d’autres groupes de nu-metal ont été oubliés. Voici notre liste des meilleures chansons de Linkin Park.

Découvrez également notre liste des meilleurs albums de Linkin Park.

Notre liste des meilleures chansons de Linkin Park

15 – Breaking The Habit

On commence notre classement des meilleures chansons de Linkin Park avec « Breaking The Habit ». Conçu à l’origine comme un morceau instrumental par Mike, « Breaking The Habit » était en préparation depuis cinq ans avant de devenir, en l’espace de quelques heures, la vitrine centrale – sans oublier le cinquième et dernier single – de Meteora.

Prototype rapide et mélangeant les genres de l’ère du prochain LP – avec de nombreuses couches sonores et une production beaucoup plus léchée qu’auparavant – cet album est devenu un bilan sur le cycle personnel de l’autodestruction.

14 – The Catalyst

Le premier single de A Thousand Suns semble parfois tiré dans différentes directions : il tente de fournir le genre d’hymne prêt pour la radio qui a fait la renommée du groupe, tout en introduisant la nouvelle ère expérimentale de l’album, qui est plus large.

Dans l’ensemble, la chanson offre un équilibre réussi, avec le son de synthé et l’esthétique dystopique du morceau (« God bless us every one, we’re a broken people living under loaded gun… ») projetant une image impressionnante et complète, alors que le groupe a plongé dans les profondeurs de sa phase la plus stimulante sur le plan artistique et intellectuel.

13 – Lying From You

Prenant le rebond nu-metal de Hybrid Theory, puis le trempant dans de l’acier en fusion, « Lying From You » a vu le groupe mettre en avant des grooves plus importants et un crunch industrialisé, avec des atmosphères sombres et l’angoisse de Chester ( » Let me take back my life, I’d rather be all alone… « ) saupoudrant l’obscurité.

Le titre a toute sa place dans notre liste des meilleures chansons de Linkin Park. Ces niveaux d’audace et d’agressivité – sans oublier le riff hallucinant de Brad Delson qui s’impose aux deux tiers de la chanson – garantissent qu’elle résonne encore aujourd’hui avec la même puissance émouvante.

12 – Given Up – l’une des meilleures chansons de Linkin Park

La chanson la plus lourde – et, sans doute, la meilleure – de Minutes To Midnight se démarque de la masse de ce troisième album de Linkin Park. Avec son moteur punk-rock à plein régime, sa bombe F qui détruit l’image jusqu’alors intacte du groupe et le fait qu’il se déchaîne comme si sa vie en dépendait, ce morceau est un contrepoids chaotique à la finition calculée du reste de l’album.

De plus, le cri de 18 secondes de Chester, qui fait exploser les poumons, reste un cri de guerre tout à fait remarquable…

11 – Points Of Authority

Comment ne pas placer « Points of Authority » dans notre sélection des meilleures chansons de Linkin Park ? Peut-être le morceau le plus nu-metal que le groupe ait jamais enregistré, cet album est la preuve que Linkin Park possède le cran nécessaire pour contrebalancer son glamour de disque de platine. Il y a de la qualité à tous les niveaux, des scratchs de Joe Hahn, des riffs grondants de Brad Delson et de l’intro de Shinoda.

Au cœur de tout cela, cependant, se trouve le cri de Chester : « You like to think you’re never wrong / You have to act like you’re someone… », mariant l’angoisse de l’adolescence et la grandiloquence de la superproduction pour en faire un véritable hymne.

10 – Wretches And Kings

Cherchant à imiter ses héros hip-hop, Mike Shinoda a voulu donner à A Thousand Suns une composition sonore tridimensionnelle, sans commune mesure avec ce que l’on a pu entendre dans le rock jusqu’à présent. « Wretches And Kings » semble être l’aboutissement ultime de cette mission.

La chanson délivre un puissant message politique, en s’inspirant du militant des droits des travailleurs Mario Savio avant qu’un Chester au timbre presque féral n’annonce : « We, the animals, take control / Hear us now, clear and tall / Wretches and kings, we come for you ! ». Lorsque les inévitables comparaisons avec l’incontournable « Fear Of A Black Planet » de Public Enemy sont apparues, cela a permis de s’assurer qu’elles étaient méritées.

9 – What I’ve Done

On poursuit notre entrée dans le top 10 des meilleures chansons de Linkin PArk avec « What I’ve Done ». Le premier single de Minutes To Midnight était un adieu direct à leurs racines nu-metal. Guidé par le légendaire producteur Rick Rubin, le groupe se construit sur un riff de piano séduisant, avec une performance plus brute, fixée non pas sur l’interaction vocale, mais sur la qualité de l’interprétation de Bennington.

Les critiques de l’époque y ont vu un éloignement du métal, à la recherche de l’attrait du grand public pour des groupes comme U2, maintenant que la bulle initiale du sous-genre avait éclaté. Avec le recul, il est plus facile de comprendre qu’il s’agit d’une étape évolutive de la part d’un groupe qui a eu l’audace de laisser derrière lui une formule qui lui avait permis de conquérir le monde – et de continuer à gagner.

8 – Somewhere I Belong

Le premier single de Meteora est tombé au début de l’année 2003, alors que les fans attendaient depuis deux ans et demi une suite digne de ce nom à Hybrid Theory.

Ce n’est peut-être pas la meilleure chanson de l’album, mais il s’agit néanmoins d’une déclaration musicale imposante, avec un pied dans l’effervescence de l’époque Hybrid Theory, tandis que l’autre s’étire vers l’avant, vers ce qui va suivre. Bien que les paroles soient enracinées dans la souffrance personnelle ( » Je veux guérir, je veux ressentir ce que je pensais ne jamais avoir été réel… « ), elles s’accordent également avec le besoin croissant du groupe de se démarquer.

7 – Crawling

« There’s something inside me that pulls beneath the surface / Consuming, confusing… ». En faisant le point sur la culpabilité et le dégoût de soi, Chester tente d’affronter les démons de son passé, à savoir l’abus de méthamphétamine à l’adolescence, qui a tendance à provoquer des hallucinations, de l’anxiété et la sensation troublante de voir quelque chose bouger sous sa peau.

Bien que le chanteur notera plus tard que la chanson reste difficile à interpréter en concert, sa qualité hymnique – et ses paroles suffisamment ouvertes pour permettre aux fans d’y projeter leurs angoisses quotidiennes – en a fait un favori et le lauréat 2002 du GRAMMY de la meilleure performance hard rock.

6 – One More Light

On poursuit notre remontée du classement des meilleures chansons de Linkin Park avec « One More Light ». Comme on l’a fait remarquer à maintes reprises ces dernières années, il est impossible de voir le dernier album du groupe avec Chester sans la perspective tragique de sa perte.

Cependant, même sur leur album le plus doux, la chanson-titre de « One More Light », un hommage à un ami décédé d’un cancer, une ode sans fard à la résilience, était d’une simplicité convaincante et sincère qui l’a fait ressortir avant même la tragédie qui a suivi. En l’écoutant maintenant, bien sûr, son message est chargé d’émotion.

5 – Papercut – l’une des meilleures chansons de Linkin Park

Le premier morceau d’Hybrid Theory ressemble, même 20 ans plus tard, à une version de démonstration de leur conception du mélange des genres, condensant un monde d’influences en 192 secondes de musique effrénée. Même à l’époque, le proto-emo-rap de Mike Shinoda (« Why does it feel like night today? Something in the air’s not right today. Why am I so uptight today? Paranoia’s all I got left! ») était un peu en retrait, mais les plaintes concernant le manque de subtilité n’ont pas été entendues.

C’est une musique surchargée d’influences, de sentiments et d’ambition mondiale : la déclaration d’ouverture d’un groupe prêt à conquérir le monde dès le premier jour.

4 – One Step Closer

D’un côté, le premier single d’Hybrid Theory ne laissait pas présager le potentiel de Linkin Park en matière d’écrasement des genres. En résumé, c’était du nu-metal dans sa forme la plus pure, avec l’immortel « SHUT UP WHEN I’M TALKING TO YOU ! » de Chester (tiré d’une dispute avec le producteur Don Gilmore à propos de la direction de la chanson) qui résumait aussi bien le genre que tout ce qu’ont pu dire Jonathan Davis, Fred Durst ou David Draiman.

D’un autre côté, c’est le groupe au meilleur de sa forme, avec un regard laser sur la domination du monde, alors que les guitares croustillantes, les vinyles rayés et les tambours sismiques se superposent pour former un tout extraordinaire, capable de niveler tout ce qui se trouve sur son chemin. 20 ans (et des milliers de démolitions de dancefloors de clubs de rock) plus tard, il n’y a pas une seconde de cette chanson qui semble moins urgente, sincère ou emblématique qu’elle ne l’était à l’époque.

Place maintenant au podium des meilleurs titres de Linkin Park

3 – Faint

Le deuxième single de Meteora a vu Linkin Park changer les choses de manière significative. Avec un rythme qui rappelle la drum’n’bass et une superposition d’éléments électroniques et orchestraux, ce single a donné l’impression d’une maturation et d’un virage audacieux alors que le groupe commençait à déballer ce qui aurait pu être un deuxième album « difficile ».

Plutôt que de se dérober, ils ont rationalisé leur son, livrant un chef-d’œuvre pop-rock de moins de trois minutes, suffisamment lisse pour être diffusé sur les radios grand public, mais aussi, à son apogée, suffisamment dur pour arracher la chair des os. Bienvenue sur le podium des meilleures chansons de Linkin Park.

2 – In The End – l’une des meilleures chansons de Linkin Park

L’histoire raconte que Chester Bennington ne voulait pas que In The End fasse partie de la version finale de Hybrid Theory. Il s’agit d’une composition plus lente, plus expansive, basée sur le piano – bien qu’elle soit parsemée de refrains puissants – qui ne correspondait pas aux bords plus durs qui l’entouraient.

En devenant le quatrième single de l’album, cependant, il est devenu le premier à vraiment préfigurer leur énorme potentiel de rupture avec le grand public.

1 – Numb

En tête de notre classement des meilleures chansons de Linkin Park, on retrouve « Numb ».

I’m tired of being what you want me to be, feeling so faithless, lost under the surface…

S’il restait des doutes sur le fait que Linkin Park était là pour dire, le troisième single de Meteora (et la déclaration finale de l’album lui-même) était la preuve retentissante qu’ils allaient être la voix durable de cette génération. D’autant plus qu’ils ont su s’exprimer selon leurs propres termes. Bien que Numb ait été un méga-succès en soi, la collaboration Collision Course de 2004 (Numb/Encore) avec le rappeur new-yorkais Jay-Z a éclipsé son profil dans la conscience du grand public.

Nous pensons cependant que la chanson est mieux vécue dans sa version relativement dépouillée (même la version avec les voix isolées de Chester suffit à donner des frissons). La légion de fans qui en a fait le clip rock le plus regardé de l’histoire de YouTube (détrônant le vénérable November Rain de Guns N’ Roses) serait plutôt d’accord.

Les meilleures chansons de Tool

Place à notre liste des meilleures chansons de Tool. Tool est l’un des groupes de heavy metal les plus éclectiques et les plus originaux, et ses meilleures chansons reflètent son ingéniosité musicale. En fait, leur discographie est l’une des plus difficiles à réduire à 10 chansons individuelles, car ils sont plus admirés pour leur musique telle qu’elle est présentée sur l’ensemble de leurs albums.

Qu’il s’agisse de la voix envoûtante de Maynard James Keenan ou du travail de guitare captivant d’Adam Jones, les chansons de Tool vous aspirent et vous serrent de près. Bien qu’ils n’aient sorti que quatre albums complets sur une période de 20 ans, le nombre d’excellents morceaux de Tool parmi lesquels choisir est considérable.

Fear Inoculum (Limited Edition)
  • A deluxe limited edition of the album, sold out almost everywhere.
  • Includes a full 4-inch HD screen (featuring original video material), a 2-watt speaker (featuring an additional song called « Recusant Ad Infinitum ») and a 36-page insert book.
  • Fear Inoum is the fifth studio album by American rock band Tool. It was released on August 30, 2019.
  • The album was released to critical acclaim, with rewers generally agreeing that the band had successfully refined their established sound.

Notre liste des meilleures chansons de Tool

10 – Sober

Bien que  » Sober  » soit l’un des titres les plus simples de Tool, c’est aussi l’un des plus puissants. Sorti sur le premier album du groupe,  » Undertow « ,  » Sober  » a été écrit à propos d’un ami du groupe qui ne pouvait atteindre son apogée artistique que sous l’influence de l’alcool. Le hurlement de Maynard James Keenan « Why can’t we not be sober / I just want to start this over » est électrique et troublant, et « Sober » a réussi à lancer Tool dans un domaine plus grand public.

9 – Forty Six & 2

« Forty Six & 2 » est le cinquième et dernier single de l’album classique de Tool, Ænima. Le concept du morceau est plein de références jungiennes, y compris l’idée que les êtres humains évolueront dans le sens de l’acquisition d’un total de 48 chromosomes, au lieu du nombre normal de 46.

Les chromosomes supplémentaires nous donneraient un total de 46 autosomes et 2 chromosomes sexuels, d’où « Forty Six & 2 ». Les paroles de la chanson parlent de la transformation de l’ombre d’une personne, représentant le chemin vers l’évolution physique et mentale, comme en témoigne la dernière ligne de la chanson : « Forty six and two are just ahead of me »

8 – Schism

Probablement la chanson la plus populaire de la carrière de Tool, « Schism » a permis à de nombreux jeunes fans de découvrir le groupe expérimental de Los Angeles. Schism » est l’une des chansons les plus complexes de l’histoire du rock et du métal à avoir été diffusée massivement sur les ondes, car le morceau change constamment de signature temporelle, passant du 4/4 normal à l’étrange 11/8, entre autres.

« Schism » a également été un succès critique et créatif, puisque le morceau a battu Black Sabbath, Slayer, Slipknot et System of a Down pour remporter le Grammy Award 2002 de la meilleure performance métal.

7 – Vicarious

« Vicariously I, live while the whole world dies ». Le premier single de Tool tiré de leur album de 2006, « 10,000 Days », est un morceau précis et complexe de sept minutes, bien que les paroles de « Vicarious » soient assez simples. Alors que Keenan chante le premier couplet, le tisseur de paroles énumère les moyens de mort qu’il a expérimentés à travers l’œil de sa télévision.

« Vicarious » est un commentaire social sur le sensationnalisme de la violence dans les médias, alors que Keenan chante : « We all feed on tragedy / It’s like blood to a vampire. »

6 – Pushit

On remonte notre classement des meilleures chansons de Tool avec « Pushit ». « Pushit » est une autre mine d’or lyrique pour les fans de Tool. Ce morceau de près de 10 minutes est plein de substance pour les fans hardcore, et constitue également l’une des meilleures performances vocales de Maynard Keenan. Vers la fin de  » Pushit « , les projecteurs sont braqués sur Keenan, qui prononce les paroles  » If, when I say I may fade like a sigh if I stay / You minimize my movement anyway / I must persuade you another way / There’s no love in fear « , avec une beauté aiguë et fulgurante. Pushit’ contient également la phrase préférée des fans, « Remember I will always love you / As I claw your f—ing throat away ».

5 – Wings For Marie / 10,000 Days – l’une des meilleures chansons de Tool

Bien qu’il s’agisse techniquement de deux chansons distinctes,  » Wings for Marie  » et  » 10,000 Days  » ne sont pas l’une sans l’autre. Cette double piste de 17 minutes, l’une des chansons les plus émouvantes de Tool dans le catalogue du groupe, contient le deuxième prénom de la défunte mère de Keenan, Judith Marie, et sert de mémorial à son décès suite à des complications dues à un anévrisme cérébral.

La mère de Keenan a été victime d’une attaque cérébrale en 1976, environ 10 000 jours avant sa mort en 2003. Bien que la performance de Keenan soit déchirante, la section instrumentale de Tool est très éclairée tout au long de la pièce, créant ainsi une atmosphère vraiment unique.

4 – Third Eye

Clôturant l’album Ænima,  » Third Eye  » est un chef-d’œuvre de près de 14 minutes. Le guitariste Adam Jones est véritablement la star de ce morceau, offrant l’une des compositions les plus expérimentales de sa carrière.

Le tourbillon de Jones, qui va du calme à l’errance, offre une expérience globale de son style personnel, que l’on retrouve dans de nombreux morceaux d' » Ænima « . Vous pouvez supplier tant que vous voulez que le morceau ne se termine jamais, mais il le fait, avec les cris distordus de Keenan « Prying open my third eye ! »

Place maintenant au podium des meilleurs titres de Tool

3 – Parabol / Parabola

Un magnifique mantra entre en scène alors que ‘Parabol’ commence sa durée de vie. Un sentiment euphorique d’unité avec toutes les choses pénètre l’esprit de l’auditeur tandis que Keenan chante : « So familiar and overwhelmingly warm » (si familier et d’une chaleur écrasante). Le prélude se poursuit pendant trois minutes, décrivant le simple acte de … eh bien … câliner !

Après la phrase « This body makes me feel eternal / All this pain is an illusion », la section instrumentale de Tool se lance dans « Parabola », avec le phénomène de la batterie Danny Carey qui guide Keenan à travers le premier couplet du morceau. Adam Jones et le bassiste Justin Chancellor maintiennent les riffs distordus tout au long de l’incroyablement lourd  » Parabola « , avant que Jones ne termine ce morceau de neuf minutes avec un magnifique son clair accompagné d’harmoniques sur les frettes. Bienvenue sur le podium des meilleures chansons de Tool.

2 – Ænema – l’une des meilleures chansons de Tool

Après la mort du légendaire comédien Bill Hicks, Tool a écrit un morceau phénoménal sur Los Angeles qui se sépare de la Californie et s’enfonce dans l’océan Pacifique ; un morceau que Hicks avait évoqué et injecté dans son album « Arizona Bay ». Ænema » est devenu un hommage à Hicks, ainsi que l’une des chansons phares de Tool.

L’esprit de Hicks est toujours présent, comme le chante Maynard Keenan : « The only way to fix it is to flush it all away / Any f—ing time, any f—ing day / Learn to swim, I’ll see you down in Arizona Bay. »

1 – Lateralus

Nous avons récemment désigné « Lateralus » comme l’une des plus grandes chansons de metal du 21e siècle, et elle figure donc en tête de notre liste des meilleures chansons de Tool. Inspiré par la séquence de Fibonacci, un modèle mathématique présent dans la nature, Keenan a choisi d’intégrer la séquence dans ses vers, créant ainsi un modèle syllabique qui s’aligne sur le code numérique de l’œuvre de Fibonacci.

La chanson passe également d’une signature temporelle à l’autre (9/8, 8/8 et 7/8), le nombre 987 étant le 17e chiffre de la séquence de Fibonacci. Chaque musicien prend en charge  » Lateralus  » à un moment ou à un autre, ce qui contribue à faire de ce morceau l’œuvre la plus essentielle de Tool.

Les 15 meilleures chansons de Motley Crue

Place maintenant à notre classement des meilleures chansons de Motley Crue. L’héritage de Motley Crue se définit autant par sa musique que par ses excès en tous genres. Le groupe a porté le slogan « sex, drugs and rock ‘n’ roll » plus loin que n’importe quel autre groupe ne l’a jamais fait et ne le fera probablement jamais.

Leurs frasques ont été relatées dans divers livres et documentaires, et aucun autre groupe n’est comparable à Motley Crue. Bien sûr, leur fête était méritée grâce à leur musique, qui a porté la scène glam à son apogée. Le groupe s’est formé en 1981, prenant de l’avance sur les groupes qui allaient devenir des rivaux amicaux. Le groupe sera le visage du glam métal avec Kiss ou encore Bon Jovi dans les années 80.

Shout at The Devil
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Les riffs du bassiste Nikki Sixx et du guitariste Mick Mars ont défini l’ère du glam, chaque partie étant empreinte de sex-appeal et de machisme. Le batteur Tommy Lee est peut-être le plus sauvage d’entre eux, même sur scène. Pendant les concerts, toute sa batterie se soulève en l’air ou tourne en rond pendant qu’il joue un solo, sous les yeux ébahis des spectateurs.

Les cris aigus de Vince Neil sont tout à fait uniques et contribuent à distinguer encore davantage le groupe des autres groupes de la scène. Alors que le groupe prépare sa dernière tournée d’adieu, jetons un coup d’œil à leur musique en établissant un décompte des meilleures chansons de Motley Crue !

Notre top 15 des meilleures chansons de Motley Crue

15 – White Trash Circus

14 – Smokin’ in the Boys Room

Le jam endiablé de Brownsville Station en 1973 est une autre reprise que les Crue ont bien faite (et c’est probablement la confession la plus innocente du groupe). Le premier succès de Motley Crue dans le top 40, tiré de Theater of Pain (1985), est un interlude enjoué, et sa structure pop s’accorde parfaitement avec la phase glam du groupe, très flashy. Le titre a bien sa place dans notre classement des meilleures chansons de Motley Crue.

13 – Same Ol’ Situation (S.O.S.)

L’ode festive et légère de Motley aux femmes qui les ont largués pour d’autres femmes était en avance sur son temps. « C’est pire qu’une fille qui vous quitte pour un autre, parce qu’il n’y a rien que vous puissiez faire », a déclaré Neil. Mais dans la chanson, le groupe hausse les épaules avec bonhomie en disant : « Les filles seront des filles ».

12 – Primal Scream, l’une des meilleures chansons de Motley Crue

On poursuit notre remontée de notre classement des meilleures chansons de Motley Crue avec « Primal Scream ». Après cinq albums à succès dans les années 1980, la compilation « Decade of Decadence » a rassemblé les meilleurs titres du groupe pour clore l’époque.

Bien sûr, il fallait trouver un angle d’attaque pour vendre un ensemble de chansons que les gens possédaient déjà, et un titre inédit intitulé « Primal Scream » est devenu une raison suffisante pour que les fans se procurent cette compilation. La chanson commence par des grognements de chiens qui cèdent la place aux riffs inimitables de Crue qui les propulsent dans les années 90.

11 – Too Young to Fall in Love

Avec leur deuxième album, Motley Crue avait encore un peu d’innocence avant de se lancer dans la débauche qui allait définir leur carrière. Too Young to Fall in Love’ prend le contre-pied de leur approche habituelle de la gloire du rock. Plutôt que de glorifier le nombre de femmes qu’ils ont couchées, ils adoptent une approche timide de l’amour et réalisent qu’il s’agit d’une chose sacrée qui ne peut être appréciée à leur âge.